L’enquête pénale sur la plus retentissante des faillites françaises est aujourd’hui enlisée. Au point que plane la menace d’une prescription des poursuites.
Aujourd’hui, le magistrat n’a pas les moyens de poursuivre l’instruction pénale. Il travaille avec l’aide d’une simple greffière et son unique enquêteur, un capitaine de police, a été muté en septembre.
Aujourd’hui, si le dossier progresse au civil, la crainte d’une prescription des poursuites au pénal à l’issue de trois ans sans acte d’instruction existe.
Plus d'info dans la revue de presse.